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Littérature | Les éditions du halage présentent : La Dame de la Sauve

  • Photo du rédacteur: H-tag
    H-tag
  • 14 mars 2018
  • 2 min de lecture

Le jeudi 30 novembre 2017, dans la grange jouxtant l’abbaye de la Sauve majeure, les éditions du halage ont annoncé l’envol de Brunissende, la Dame de la Sauve.

La soirée a été organisée en collaboration avec un peintre calligraphe marocain : Karim Smili.

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Tout d’abord, que sont les éditions du halage ?

Il s’agit d’une maison d’édition associative créée en 2011 afin de publier la description faite par Pierre Martineau du fonctionnement des matchs d’impro au Québec. Les éditions du halage ont repris l’édition des livres de Sandrine Biyi. D’abord Cathares, puis Sorcières, et maintenant La Dame de la Sauve dont le premier tome a été réédité le 30 novembre 2017.


Résumé

Brunissende naît à Jérusalem en 1108. Elle est la fille d’un seigneur aquitain parti en Orient lors de la première croisade et d’une jeune femme médecin, Arabe de la dynastie des Abbassides. Élevée dans ces milieux de grande culture et de tolérance que sont l’Orient et le Moyen Orient de cette époque, elle a accès à un savoir qui fait d’elle un danger dès son arrivée en Aquitaine et ce, malgré le soutien de son père Philippe.

Elle se heurte d’emblée aux moines de l’abbaye de La Sauve-Majeure, toute proche. Son intelligence, sa volonté de soigner mais aussi sa liberté de pensée et sa beauté font d’elle une femme que beaucoup veulent détruire. Elle décide alors de lutter.

De double culture, elle devra faire sa place dans cette Aquitaine du Moyen Âge sans renier ce que lui a donné le pays de sa mère et sans refuser celui de son père.

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La pentalogie de La Dame de la Sauve a été écrite dans un contexte de « ras le bol » quant aux préjugés et quand à l’image que les médias, notamment, renvoyaient d’un monde par trop obscur. Sandrine Biyi est passionnée d’histoire et cela se sent à travers ses paroles, ses écrits.


Cette vision d’un monde obscur va de pair avec la méthode de peinture, ou plutôt de calligraphie de Karim Smili. En effet, la calligraphie est née non loin de Bagdad. Il travaille sur des citations universelles d’amour, de paix et de tolérance, par exemple : « La mesure de l’amour, c’est d’aimer sans mesure. »

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